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    Les films qui ont un lien vont tous vers Youtube ou Dailymotion, qui ont des licences de diffusion légale pour certains films.

    Dreamkeeper, de Steve Barron. Old pete Chasing Horse est le "conteur" de la réserve Sioux de Pine Ridge. Il a presque 100 ans et c'est son devoir de transmettre les légendes de son peuple pour que celles-ci perdurent. Shane, son petit-fils de 17 ans, part avec lui pour le Pow Wow au nouveau Mexique, espérant ainsi échapper à un gang à qui il doit de l'argent. Au fil du chemin, il va profiter de la sagesse des histoires de son grand-père... (voir la version Exashare sur le lien).

    Lien vers une liste d'autres films sur les amérindiens

    La vie sur terre (1998, 61mn, bande-annonce) d'Abderrahmane Sissako, avec Mohamed Sissako, Madlaye Traoré, Bourama Coulibaly, Moussa Fofana, Keita Kagny, Mahamadou Dramé, Nana Baby, Abderrahmane Sissako et Keita Bina Gaousso.(et la chanson de Salif Keita, "Folon") :  Dans les derniers jours de 1999, après quelques prises de vue dans un supermarché français, abondant en aliments et en couleur, nous entendons Dramane composer une lettre à son père au Mali, à qui il rend ensuite visite dans le village de Sokolo. Il rencontre la belle Nana, et des possibilités s'ouvrent. Les gens passent des appels longue distance dans le bureau de poste. Atteindre les gens, dit le responsable du bureau de poste, "est une question de chance." Les contrastes entre Paris et Sokolo, et entre le Mali et la France, entre l'Afrique et l'Europe, sont soulignées par des poèmes et des commentaires d'Aimé Césaire en voix off. Un homme dicte une lettre à un frère en France: quelle est la nature de leurs difficultés? Les gens cherchent leur place sur cette terre.

    Bamako, (2006) d'Abderrahmane Sissako. Melé est une chanteuse de bar et son mari, Chaka, au chômage s'enfonce dans le silence. Malgré une fille qui les unit, leur couple s'émiette petit à petit. Ils vivent dans une maison qu'ils partagent avec plusieurs familles. Dans la cour, se tient un étonnant événement : le procès de la société civile africaine contre la Banque mondiale et le FMI. Ce film mélange une partie de fiction scénarisée par Sissoko et un procès improvisé par de vrais avocats, (dont les Français William Bourdon et Roland Rappaport), président du jury et témoins. Les divers "acteurs" du procès ont donc élaboré leurs propres arguments et plaidoiries, donnant une vision intéressante de la mondialisation et de ses conséquences en Afrique. Lors d'une scène où des personnages regardent la télévision malienne, cette dernière diffuse un faux film qui est une parodie de western spaghetti, "Death in Timbuktu", ironisant sur le monde actuel et montrant la complexité des choses: Blancs et Noirs tuant des Noirs, symbole d'une corresponsabilité des effets négatifs de la mondialisation actuelle dans les pays du Sud. Les cow-boys sont joués par Sissoko lui-même, Danny Glover (qui est coproducteur du film) et d'autres amis personnels de Sissoko, tous ayant accepté de jouer cette partie gratuitement. (Source)

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